Le blog d'une curieuse, avide d'histoires, de récits, de livres, de film et d'imaginaire.
« J'ai tellement l'habitude d'imaginer les choses comme sur un écran de cinéma, à voir les événements et les gens comme s'ils faisaient partie d'un film, qu'il me semble soudain entendre jouer un orchestre, voir littéralement la caméra s'approcher en...
Lire la suite"They thrill him, these little demonstration of womanly certainty. They're right out of Henry James and George Eliot, aren't they ? We are in fact made of the same material as Isabel Archer and Dorothea Brooke." Peter et Rebecca sont deux new-yorkais...
Lire la suite"I knew why Will had suggested the book of course, because Quasimodo was like me, locked away somewhere. And in my fifth-floor room, watching over the city, I felt like him. Quasimodo watched the Parisians and a beautiful gypsy girl, Esmeralda, who danced...
Lire la suiteJe commence ce blablatage avec une nouvelle qui m'a beaucoup attristée : Henri Bauchau, un auteur que je connaissais à peine, a disparu. Je n'avais lu que son Antigone , mais que je l'avais aimée ! J'avais apprécié cette intelligence, cette humanité et...
Lire la suite"Antoine : Je pense à toutes les âmes perdue par ces faux dieux. Hilarion : Ne trouves-tu pas qu'ils ont ... quelque fois ... comme des ressemblances avec le vrai ? Antoine : C'est une ruse du Diable pour séduire mieux les fidèles. Il attaque les forts...
Lire la suite"A propos, est-ce que quelqu'un saurait comment se débarrasser d'empreintes de pattes de chien dans du ciment frais ? Appelez moi ou passez à la poste pour me le dire." J'ai enfin ! découvert ce petit chef d'oeuvre et, mon dieu !, quel plaisir. Je regrette...
Lire la suite« Issus de la bourgeoisie anglaise, ils n'étaient pas venus dans les colonies mourir pour une foi, mais vivre pour un compte en banque. » Quatre nouvelles, quatre décennies (de 1850 à 1880), un lieu : New-York, un milieu : sa grande bourgeoisie. De la...
Lire la suite"For I foresee when I shall die, and everything that will happen in my last moments." A ma grande surprise, George Eliot n'a pas écrit que des gros pavés de 652 pages (au moins). Elle a aussi commis des nouvelles et The lifted veil m'a semblé tout à fait...
Lire la suiteMe voici rentrée de vacances... Je sens que je vais les regretter, ces trois semaines à se baigner, se ballader dans la campagne, manger des poissons grillés et bouquiner. Et oui, pour votre information, j'ai dévoré presque tous les livres que j'avais...
Lire la suite« Myth is a cloud, based upon a shadow based upon the movement of the breeze. » Angus est le dieu celte des rêves, de la jeunesse insouciante et de l'amour. Il est beau comme seul peut l'être un jeune dieu, tendre et amical, parfois cruel avec ceux qui...
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